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Plan génération sans fumée

Créé en 2017, le Plan génération sans fumée (PGSF) est un ambitieux projet qui s’attaque au tabagisme et au vapotage dans les écoles secondaires. Aux écoles qui souhaitent aborder ces réalités, le CQTS propose un accompagnement en 7 étapes souples s’ajustant selon le milieu. À travers le PGSF, nous accompagnons aujourd’hui déjà plus de 100 écoles secondaires francophones et anglophones dans l’ensemble du Québec. 

Un rempart au vapotage et au tabagisme dans les écoles secondaires 

Le vapotage chez les jeunes représente depuis plusieurs années un enjeu de santé publique que nous devons prendre au sérieux. Les écoles, principaux témoins de la montée en force du vapotage, ont parfois besoin d’accompagnement pour faire face à cette problématique.  

 

Avec le PGSF, nous offrons à nos écoles un accompagnement bienveillant qui mobilise l’ensemble de l’établissement afin d’y diminuer voire éliminer le tabagisme et le vapotage. La démarche est construite autour de 3 axes : prévention, cessation et application de la Loi concernant la lutte contre le tabagisme. 

 

Implanter le Plan génération sans fumée, concrètement, ça consiste en quoi? 

L’accompagnement initial dure entre 6 mois et 1 an, période pendant laquelle des suivis sont effectués à une fréquence convenue entre l’école et le CQTS. Les écoles peuvent débuter le PGSF au moment qu’elles désirent. 

 

Notre équipe guide nos écoles dans la mise en place de stratégies pour faire face à la problématique du tabagisme et du vapotage durant les 7 actions de l’implantation, que ce soit la mise en place d’un comité PGSF, le profil tabagique de l’école, la création d’un plan de soutien, le lancement ou encore la pérennité du programme. 

Que font les écoles PGSF? 

Pour implanter sa stratégie sans fumée et faire la promotion des saines habitudes de vie au sein de son établissement, chaque école y va de sa créativité, laissant place à son imagination!  

Au printemps 2024 par exemple, le comité PGSF de l’école Marcel-Raymond de Lorrainville en Abitibi-Témiscamingue a réalisé un concours de publicité « Crée ta pub, pas ta dépendance ». Le but? Encourager les jeunes à cesser de consommer de la nicotine, et surtout à ne pas s’initier. Comme le rappelle le trio gagnant composé de Kimy, Ashton et Gaël avec sa publicité : Vapoter, c’est se saboter la santé. 

Le PGSF, ce sont des élèves, mais ce sont aussi des professeurs. Dans l’un de nos établissements PGSF au Bas-Saint-Laurent, à l’école Armand St-Onge, le technicien en travaux pratiques a fabriqué un poumon en métal et une vapoteuse. Son objectif, mettre en lumière l’impact du vapotage sur la santé pulmonaire. 

 

Et les actions dans l’ensemble de nos écoles ne manquent pas! Voici une liste non exhaustive d’initiatives : 

  • Pièce de théâtre sur le vapotage; 
  • Lancement d’une chill zone, où les élèves peuvent se retrouver dans l’école pour éviter de sortir vapoter; 
  • Défi sans vapotage sur le temps du midi; 

 

La vague PGSF, c’est plus de 100 écoles! 

Depuis sa création en 2017, le projet gagne constamment en popularité et rejoint aujourd’hui plus de 100 écoles secondaires dans l’ensemble du Québec. Parce que l’enjeu du vapotage ne connaît pas la barrière de la langue, nos formations sont également adaptées pour le marché anglophone. 

 

Joignez-vous à l’école du Méandre, à l’école polyvalente Saint-Joseph ou encore à l’école Robert Gravel et entrez dans la vague du Plan génération sans fumée! 

 

Ils ont implanté le Plan génération sans fumée dans leur école et témoignent… 

« Le PGSF est un programme réaliste qui est clés en main, facile à utiliser, et très encadré. » Mathilde Séguin, professeure d’art dramatique et membre du comité PGSF à l’école Robert Gravel. 

 

« Être une école PGSF, ça montre qu’on a à cœur le bien-être de nos jeunes. On essaye de viser une génération sans fumée! Toutes nos actions s’inspirent des recommandations du CQTS. » Line Plantier, infirmière clinicienne et membre du comité PGSF de l’école du Méandre, l’une de nos premières écoles PGSF. 

 

« Notre objectif, c’était d’être encadrés dans le processus de mise en place d’un plan et d’avoir des outils clés en main. Aller chercher l’expertise sur le vapotage de la part du CQTS et d’être épaulés, ça a été aidant. » Caroline Rossi, éducatrice spécialisée et membre du comité PGSF à l’école Robert Gravel. 

 

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